Hoffmann
Hélas! Mon cœur s’égare encore.
Mes sens se laissent embraser
Maudit l’amour qui me dévore.
Ma raison ne peut s’apaiser.
Sous ce front clair, comme une aurore
L’enfer même vient me griser,
Je la hais et je l’adore.
Je veux mourir de son baiser
Giuletta
Mon bel Hoffmann, je vous adore
Mais n’ai point l’âme à refuser
Ce diamant aux feux d’aurore
Qui ne me coûte qu’un baiser
Mon bel Hoffmann que j’adore