Et qu'à vos yeux si beaux l'humble présent soit doux.
J'arrive, tout couvert encore de rosée que le vent du matin vient glacer à mon front...
Souffrez que ma fatigue, à vos pieds reposée,
Rêve des chers instants qui la délasseront.Sur votre jeune sein laissez rouler ma tête
Toute sonore encore de vos derniers baisers, Laissez-la s'apaiser de la bonne tempête. Et que je dorme un peu puisque vous reposez.