L’instrumentation, d’abord, qui se signale ici par son caractère « intermédiatique », puisque les 50 premières secondes de la chanson nous amènent à écouter les premiers accords du premier mouvement du « Clavier bien tempéré » de Bach, dont le texte nous donne à croire qu’il s’agirait de l’interprétation de Glenn Gould. S’agit-il bien de Glenn Gould pourtant ? La confrontation avec l’enregistrement original de celui-ci montre que ce que la chanson nous donne à entendre est en réalité très éloigné de la frappe pianistique si particulière du pianiste canadien.
On peut donc parler ici d’un étrange détournement de la référence, mais aussi d’une surenchère dans une tradition intertextuelle déjà saturée, puisque le début de l’« Ave maria » de Gounod nous rappelle que Maurane n’est nullement la première à piller ce morceau de Bach.
L’instrumentation, d’abord, qui se signale ici par son caractère « intermédiatique », puisque les 50 premières secondes de la chanson nous amènent à écouter les premiers accords du premier mouvement du « Clavier bien tempéré » de Bach, dont le texte nous donne à croire qu’il s’agirait de l’interprétation de Glenn Gould. S’agit-il bien de Glenn Gould pourtant ? La confrontation avec l’enregistrement original de celui-ci montre que ce que la chanson nous donne à entendre est en réalité très éloigné de la frappe pianistique si particulière du pianiste canadien.
On peut donc parler ici d’un étrange détournement de la référence, mais aussi d’une surenchère dans une tradition intertextuelle déjà saturée, puisque le début de l’« Ave maria » de Gounod nous rappelle que Maurane n’est nullement la première à piller ce morceau de Bach.
Le port du Havre est un grand port maritime français de commerce et de passagers (liaison vers l'Angleterre), c'est aussi un port de plaisance et de pêche sur la Manche.
Elle parle de la beauté grave de ce port et décrit son état qui fait écho aux sentiments de Maurane.
Le port du Havre est un grand port maritime français de commerce et de passagers (liaison vers l'Angleterre), c'est aussi un port de plaisance et de pêche sur la Manche.
Elle parle de la beauté grave de ce port et décrit son état qui fait écho aux sentiments de Maurane.
Le port du Havre est un grand port maritime français de commerce et de passagers (liaison vers l'Angleterre), c'est aussi un port de plaisance et de pêche sur la Manche.
Elle parle de la beauté grave de ce port et décrit son état qui fait écho aux sentiments de Maurane.
Le port du Havre est un grand port maritime français de commerce et de passagers (liaison vers l'Angleterre), c'est aussi un port de plaisance et de pêche sur la Manche.
Elle parle de la beauté grave de ce port et décrit son état qui fait écho aux sentiments de Maurane.
Maurane parle de sa dépendance envers cet homme qu'elle chérit tant
On la voit user du langage courant comme " ma tête à claque ", " pot de colle " ainsi que de métaphores " ma chose ", " ma bestiole " pour illustrer sa possessivité excessive envers cet homme.
Maurane parle de sa dépendance envers cet homme qu'elle chérit tant
On la voit user du langage courant comme " ma tête à claque ", " pot de colle " ainsi que de métaphores " ma chose ", " ma bestiole " pour illustrer sa possessivité excessive envers cet homme.
Maurane parle de sa dépendance envers cet homme qu'elle chérit tant
On la voit user du langage courant comme " ma tête à claque ", " pot de colle " ainsi que de métaphores " ma chose ", " ma bestiole " pour illustrer sa possessivité excessive envers cet homme.
Maurane parle de sa dépendance envers cet homme qu'elle chérit tant
On la voit user du langage courant comme " ma tête à claque ", " pot de colle " ainsi que de métaphores " ma chose ", " ma bestiole " pour illustrer sa possessivité excessive envers cet homme.
L’instrumentation, d’abord, qui se signale ici par son caractère « intermédiatique », puisque les 50 premières secondes de la chanson nous amènent à écouter les premiers accords du premier mouvement du « Clavier bien tempéré » de Bach, dont le texte nous donne à croire qu’il s’agirait de l’interprétation de Glenn Gould. S’agit-il bien de Glenn Gould pourtant ? La confrontation avec l’enregistrement original de celui-ci montre que ce que la chanson nous donne à entendre est en réalité très éloigné de la frappe pianistique si particulière du pianiste canadien.
On peut donc parler ici d’un étrange détournement de la référence, mais aussi d’une surenchère dans une tradition intertextuelle déjà saturée, puisque le début de l’« Ave maria » de Gounod nous rappelle que Maurane n’est nullement la première à piller ce morceau de Bach.
L’instrumentation, d’abord, qui se signale ici par son caractère « intermédiatique », puisque les 50 premières secondes de la chanson nous amènent à écouter les premiers accords du premier mouvement du « Clavier bien tempéré » de Bach, dont le texte nous donne à croire qu’il s’agirait de l’interprétation de Glenn Gould. S’agit-il bien de Glenn Gould pourtant ? La confrontation avec l’enregistrement original de celui-ci montre que ce que la chanson nous donne à entendre est en réalité très éloigné de la frappe pianistique si particulière du pianiste canadien.
On peut donc parler ici d’un étrange détournement de la référence, mais aussi d’une surenchère dans une tradition intertextuelle déjà saturée, puisque le début de l’« Ave maria » de Gounod nous rappelle que Maurane n’est nullement la première à piller ce morceau de Bach.
Le zodiaque est une zone circulaire de la sphère céleste, dont l'écliptique occupe le milieu.
Le zodiaque est compris du sens astrologique où le Bélier représente le premier signe du zodiaque et qui représente la période de la nouvelle année dans les calendriers antiques, le Taureau, les Gémeaux, le Cancer, le Lion, la Vierge, la Balance, le Scorpion, le Sagittaire, le Capricorne est le secteur où le Soleil entre au solstice d'hiver, le 21 décembre, date à laquelle il culmine au zénith du tropique du Capricorne, le Verseau, les Poissons qui achèvent le cycle.
Mauranne s'appuie sur la musique comme un déclencheur de sa nostalgie envers cet amour perdu, elle y fait plusieurs références musicales.
Elle énonce la musique classique (Bach, Mozart, Glenn Gould), la chanson contemporaine (Ray Charles, le rock, « La vie en rose ») et la société branchée (pack, corbac).
Mauranne s'appuie sur la musique comme un déclencheur de sa nostalgie envers cet amour perdu, elle y fait plusieurs références musicales.
Elle énonce la musique classique (Bach, Mozart, Glenn Gould), la chanson contemporaine (Ray Charles, le rock, « La vie en rose ») et la société branchée (pack, corbac).
Mauranne s'appuie sur la musique comme un déclencheur de sa nostalgie envers cet amour perdu, elle y fait plusieurs références musicales.
Elle énonce la musique classique (Bach, Mozart, Glenn Gould), la chanson contemporaine (Ray Charles, le rock, « La vie en rose ») et la société branchée (pack, corbac).
Mauranne s'appuie sur la musique comme un déclencheur de sa nostalgie envers cet amour perdu, elle y fait plusieurs références musicales.
Elle énonce la musique classique (Bach, Mozart, Glenn Gould), la chanson contemporaine (Ray Charles, le rock, « La vie en rose ») et la société branchée (pack, corbac).
Mauranne s'appuie sur la musique comme un déclencheur de sa nostalgie envers cet amour perdu, elle y fait plusieurs références musicales.
Elle énonce la musique classique (Bach, Mozart, Glenn Gould), la chanson contemporaine (Ray Charles, le rock, « La vie en rose ») et la société branchée (pack, corbac).
Mauranne s'appuie sur la musique comme un déclencheur de sa nostalgie envers cet amour perdu, elle y fait plusieurs références musicales.
Elle énonce la musique classique (Bach, Mozart, Glenn Gould), la chanson contemporaine (Ray Charles, le rock, « La vie en rose ») et la société branchée (pack, corbac).
" Sur un prélude de Bach ", est l’une des chansons des plus emblématiques de Maurane sortie en 1991, extraite de son troisième album " Ami ou Ennemi, celle-ci la propulse au devant de la scène et l'album obtient un disque de platine. Le texte, quant à lui, a été écrit par le célèbre parolier Jean-Claude Vannier, un grand compositeur et arrangeur... (Melody Nelson, que je t'aime, laisse-moi t'aimer....).
La douce musique de la prélude épouse parfaitement la voix de velours de Maurane qui en fait une interprétation mélodieuse.
Cette chanson évoque incontestablement des souvenirs nostalgiques d'une idylle perdue mi-douce, mi-amers qui s'est déroulée dans un cadre lourd et triste, et où la narratrice s'attache à convoquer cette relation complexe et ambivalente et où elle se reproche d'avoir été trop possessive avec son amant.
La dureté de certaines sonorités et d'images décrivant avec tant de justesse les ratés de nos premières amours et le tempérament de nos contrées et les lourdes déceptions .
le texte apparaît comme bâti sur deux stéréotypes : celui de la musique qui rappelle des souvenirs et celui de la nostalgie d’un amour perdu. Tous deux sont manifestement assumés par l’auteur, le texte étant écrit au premier degré, sur un ton qui relève à la fois de la nostalgie, de l’amertume et du lyrisme.
Le texte se signale en effet à la fois par un univers référentiel contrasté et paradoxal (grisaille prosaïque du Havre vs classicisme de la musique de Bach) et par le traitement singulier de la langue qui fait place à un jeu de rimes caractérisé par la monotonie et qui présente des références à tous les niveaux ;
la bande son se distingue par l’hommage paradoxal qu’elle adresse à la fois à Bach et à Glenn Gould, mais aussi par le contraste qu’elle dégage par rapport à l’univers évoqué par le texte ;
Quant au clip, il se caractérise par une mise en scène « romantique » en décalage complet avec le texte, cela nous renvoi au film de Jane Campion « La leçon de Piano », célèbre entre autres pour ses scènes montrant un piano échoué sur la plage.
Maurane, cette chanteuse belge, auteur, compositeur s'est éteinte, à l'âge de 57 ans, dans la nuit du 7 au 8 mai 2018. Elle fût l'une des plus belles voix de ces dernières décennies de la chanson française. Avec, notamment, ce titre inoubliable qui la rend, grâce au miracle de l'art, sinon immortelle du moins éternelle. Hommage, donc, à cette grande et belle dame ! qui restera un hymne féminin à la ville du Havre.