Comme les gens qui nous blessent
Et nos clés, les repères, on les perd
De nos vies qui se traînent
Mais il est une chose í laquelle
Les mains, les mots d'amour
La peau, l'odeur, l'amour
J'oublierai ce mois d'août
Où j'ai dû faire la route
Mais j'y pense encore quelquefois
Que je ne t'oublierai jamais