Traduction de Jealous Guy Red

Paul McCartney déclare dans le numéro de février de 1985 de Playgirl:

Il (John) avait l'habitude de dire, tout le monde est dans le train McCartney. Il a écrit "je suis juste un mec jaloux", et il a dit que la chanson parlait de moi. Donc, je pense que c'était juste une sorte de jalousie. 

C’était à l’origine une chanson des Beatles, mais elle n’a pas été intégrée à un album des Beatles. Lennon l’a donc utilisée dans son album Imagine. Les paroles ont été modifiées pour refléter sa relation avec Yoko et à quel point il est devenu possessif alors que les Beatles se séparaient.

Paul McCartney déclare dans le numéro de février de 1985 de Playgirl:

Il (John) avait l'habitude de dire, tout le monde est dans le train McCartney. Il a écrit "je suis juste un mec jaloux", et il a dit que la chanson parlait de moi. Donc, je pense que c'était juste une sorte de jalousie. 

C’était à l’origine une chanson des Beatles, mais elle n’a pas été intégrée à un album des Beatles. Lennon l’a donc utilisée dans son album Imagine. Les paroles ont été modifiées pour refléter sa relation avec Yoko et à quel point il est devenu possessif alors que les Beatles se séparaient.

Paul McCartney déclare dans le numéro de février de 1985 de Playgirl:

Il (John) avait l'habitude de dire, tout le monde est dans le train McCartney. Il a écrit "je suis juste un mec jaloux", et il a dit que la chanson parlait de moi. Donc, je pense que c'était juste une sorte de jalousie. 

C’était à l’origine une chanson des Beatles, mais elle n’a pas été intégrée à un album des Beatles. Lennon l’a donc utilisée dans son album Imagine. Les paroles ont été modifiées pour refléter sa relation avec Yoko et à quel point il est devenu possessif alors que les Beatles se séparaient.

Paul McCartney déclare dans le numéro de février de 1985 de Playgirl:

Il (John) avait l'habitude de dire, tout le monde est dans le train McCartney. Il a écrit "je suis juste un mec jaloux", et il a dit que la chanson parlait de moi. Donc, je pense que c'était juste une sorte de jalousie. 

C’était à l’origine une chanson des Beatles, mais elle n’a pas été intégrée à un album des Beatles. Lennon l’a donc utilisée dans son album Imagine. Les paroles ont été modifiées pour refléter sa relation avec Yoko et à quel point il est devenu possessif alors que les Beatles se séparaient.

John et Yoko Ono étaient presque toujours ensemble, même quand Lennon travaillait avec le reste du groupe en studio.

Cela violait un accord fait entre les membres de ne pas laisser les femmes ou les amis entrer en studio. Ono faisait souvent des suggestions dans le studio d’enregistrement, ce qui ne servait qu’à augmenter le mécontentement entre Ono et les autres membres du groupe.

John et Yoko Ono étaient presque toujours ensemble, même quand Lennon travaillait avec le reste du groupe en studio.

Cela violait un accord fait entre les membres de ne pas laisser les femmes ou les amis entrer en studio. Ono faisait souvent des suggestions dans le studio d’enregistrement, ce qui ne servait qu’à augmenter le mécontentement entre Ono et les autres membres du groupe.

John et Yoko Ono étaient presque toujours ensemble, même quand Lennon travaillait avec le reste du groupe en studio.

Cela violait un accord fait entre les membres de ne pas laisser les femmes ou les amis entrer en studio. Ono faisait souvent des suggestions dans le studio d’enregistrement, ce qui ne servait qu’à augmenter le mécontentement entre Ono et les autres membres du groupe.

John et Yoko Ono étaient presque toujours ensemble, même quand Lennon travaillait avec le reste du groupe en studio.

Cela violait un accord fait entre les membres de ne pas laisser les femmes ou les amis entrer en studio. Ono faisait souvent des suggestions dans le studio d’enregistrement, ce qui ne servait qu’à augmenter le mécontentement entre Ono et les autres membres du groupe.

John et Yoko Ono étaient presque toujours ensemble, même quand Lennon travaillait avec le reste du groupe en studio.

Cela violait un accord fait entre les membres de ne pas laisser les femmes ou les amis entrer en studio. Ono faisait souvent des suggestions dans le studio d’enregistrement, ce qui ne servait qu’à augmenter le mécontentement entre Ono et les autres membres du groupe.

John et Yoko Ono étaient presque toujours ensemble, même quand Lennon travaillait avec le reste du groupe en studio.

Cela violait un accord fait entre les membres de ne pas laisser les femmes ou les amis entrer en studio. Ono faisait souvent des suggestions dans le studio d’enregistrement, ce qui ne servait qu’à augmenter le mécontentement entre Ono et les autres membres du groupe.

John et Yoko Ono étaient presque toujours ensemble, même quand Lennon travaillait avec le reste du groupe en studio.

Cela violait un accord fait entre les membres de ne pas laisser les femmes ou les amis entrer en studio. Ono faisait souvent des suggestions dans le studio d’enregistrement, ce qui ne servait qu’à augmenter le mécontentement entre Ono et les autres membres du groupe.

John et Yoko Ono étaient presque toujours ensemble, même quand Lennon travaillait avec le reste du groupe en studio.

Cela violait un accord fait entre les membres de ne pas laisser les femmes ou les amis entrer en studio. Ono faisait souvent des suggestions dans le studio d’enregistrement, ce qui ne servait qu’à augmenter le mécontentement entre Ono et les autres membres du groupe.

Il existe deux versions de la façon dont Lennon a rencontré Ono. Selon la première, racontée par les Lennons, le 9 novembre 1966, Lennon se rendit à la galerie Indica à Londres, où Ono préparait son exposition d'art conceptuel. Lennon aperçut une pièce avec une échelle avec une longue lunette au sommet. Il grimpa sur l'échelle, se sentant un peu idiot, et regarda à travers la longue-vue pour voir le mot «OUI». Lennon apprécia le message positif de la pièce, en particulier par rapport au reste de l'art de la galerie, si bien que le galeriste, John Dunbar, lui a présenté l'artiste, Yoko Ono.

John a exploré le reste de l’exposition de Yoko et a voulu prendre part à la pièce de Yoko, "Hammer a Nail" - dans laquelle les téléspectateurs étaient priés d’enfoncer un clou dans une planche de bois. Alors que l'exposition était encore en cours de montage, la planche était vierge - et Yoko ne voulait pas que John la bousille avant le commencement du show! Dunbar lui a demandé: «Vous ne savez pas qui c'est? Il est millionnaire! Il pourrait l'acheter. "Ono a dit qu'elle ne savait pas qui il était et qu'elle n'avait jamais entendu parler des Beatles, mais l'a autorisé à avancer pour cinq shillings, ce à quoi Lennon a répondu:" Je vais vous donner cinq shillings imaginaires et enfoncer un clou imaginaire.

La deuxième version, racontée par Paul McCartney, est qu’à la fin de l'année 1965, Ono était à Londres en train de compiler des partitions originales pour un livre sur lequel travaillait John Cage, intitulé Notations. McCartney a refusé de lui donner l'un de ses propres manuscrits pour le livre, mais a suggéré que Lennon pourrait le faire. Lorsqu'on lui a demandé, Lennon a donné à Ono les paroles manuscrites originales de «The Word»

Il existe deux versions de la façon dont Lennon a rencontré Ono. Selon la première, racontée par les Lennons, le 9 novembre 1966, Lennon se rendit à la galerie Indica à Londres, où Ono préparait son exposition d'art conceptuel. Lennon aperçut une pièce avec une échelle avec une longue lunette au sommet. Il grimpa sur l'échelle, se sentant un peu idiot, et regarda à travers la longue-vue pour voir le mot «OUI». Lennon apprécia le message positif de la pièce, en particulier par rapport au reste de l'art de la galerie, si bien que le galeriste, John Dunbar, lui a présenté l'artiste, Yoko Ono.

John a exploré le reste de l’exposition de Yoko et a voulu prendre part à la pièce de Yoko, "Hammer a Nail" - dans laquelle les téléspectateurs étaient priés d’enfoncer un clou dans une planche de bois. Alors que l'exposition était encore en cours de montage, la planche était vierge - et Yoko ne voulait pas que John la bousille avant le commencement du show! Dunbar lui a demandé: «Vous ne savez pas qui c'est? Il est millionnaire! Il pourrait l'acheter. "Ono a dit qu'elle ne savait pas qui il était et qu'elle n'avait jamais entendu parler des Beatles, mais l'a autorisé à avancer pour cinq shillings, ce à quoi Lennon a répondu:" Je vais vous donner cinq shillings imaginaires et enfoncer un clou imaginaire.

La deuxième version, racontée par Paul McCartney, est qu’à la fin de l'année 1965, Ono était à Londres en train de compiler des partitions originales pour un livre sur lequel travaillait John Cage, intitulé Notations. McCartney a refusé de lui donner l'un de ses propres manuscrits pour le livre, mais a suggéré que Lennon pourrait le faire. Lorsqu'on lui a demandé, Lennon a donné à Ono les paroles manuscrites originales de «The Word»

Il existe deux versions de la façon dont Lennon a rencontré Ono. Selon la première, racontée par les Lennons, le 9 novembre 1966, Lennon se rendit à la galerie Indica à Londres, où Ono préparait son exposition d'art conceptuel. Lennon aperçut une pièce avec une échelle avec une longue lunette au sommet. Il grimpa sur l'échelle, se sentant un peu idiot, et regarda à travers la longue-vue pour voir le mot «OUI». Lennon apprécia le message positif de la pièce, en particulier par rapport au reste de l'art de la galerie, si bien que le galeriste, John Dunbar, lui a présenté l'artiste, Yoko Ono.

John a exploré le reste de l’exposition de Yoko et a voulu prendre part à la pièce de Yoko, "Hammer a Nail" - dans laquelle les téléspectateurs étaient priés d’enfoncer un clou dans une planche de bois. Alors que l'exposition était encore en cours de montage, la planche était vierge - et Yoko ne voulait pas que John la bousille avant le commencement du show! Dunbar lui a demandé: «Vous ne savez pas qui c'est? Il est millionnaire! Il pourrait l'acheter. "Ono a dit qu'elle ne savait pas qui il était et qu'elle n'avait jamais entendu parler des Beatles, mais l'a autorisé à avancer pour cinq shillings, ce à quoi Lennon a répondu:" Je vais vous donner cinq shillings imaginaires et enfoncer un clou imaginaire.

La deuxième version, racontée par Paul McCartney, est qu’à la fin de l'année 1965, Ono était à Londres en train de compiler des partitions originales pour un livre sur lequel travaillait John Cage, intitulé Notations. McCartney a refusé de lui donner l'un de ses propres manuscrits pour le livre, mais a suggéré que Lennon pourrait le faire. Lorsqu'on lui a demandé, Lennon a donné à Ono les paroles manuscrites originales de «The Word»

Il existe deux versions de la façon dont Lennon a rencontré Ono. Selon la première, racontée par les Lennons, le 9 novembre 1966, Lennon se rendit à la galerie Indica à Londres, où Ono préparait son exposition d'art conceptuel. Lennon aperçut une pièce avec une échelle avec une longue lunette au sommet. Il grimpa sur l'échelle, se sentant un peu idiot, et regarda à travers la longue-vue pour voir le mot «OUI». Lennon apprécia le message positif de la pièce, en particulier par rapport au reste de l'art de la galerie, si bien que le galeriste, John Dunbar, lui a présenté l'artiste, Yoko Ono.

John a exploré le reste de l’exposition de Yoko et a voulu prendre part à la pièce de Yoko, "Hammer a Nail" - dans laquelle les téléspectateurs étaient priés d’enfoncer un clou dans une planche de bois. Alors que l'exposition était encore en cours de montage, la planche était vierge - et Yoko ne voulait pas que John la bousille avant le commencement du show! Dunbar lui a demandé: «Vous ne savez pas qui c'est? Il est millionnaire! Il pourrait l'acheter. "Ono a dit qu'elle ne savait pas qui il était et qu'elle n'avait jamais entendu parler des Beatles, mais l'a autorisé à avancer pour cinq shillings, ce à quoi Lennon a répondu:" Je vais vous donner cinq shillings imaginaires et enfoncer un clou imaginaire.

La deuxième version, racontée par Paul McCartney, est qu’à la fin de l'année 1965, Ono était à Londres en train de compiler des partitions originales pour un livre sur lequel travaillait John Cage, intitulé Notations. McCartney a refusé de lui donner l'un de ses propres manuscrits pour le livre, mais a suggéré que Lennon pourrait le faire. Lorsqu'on lui a demandé, Lennon a donné à Ono les paroles manuscrites originales de «The Word»

John et Yoko Ono étaient presque toujours ensemble, même quand Lennon travaillait avec le reste du groupe en studio.

Cela violait un accord fait entre les membres de ne pas laisser les femmes ou les amis entrer en studio. Ono faisait souvent des suggestions dans le studio d’enregistrement, ce qui ne servait qu’à augmenter le mécontentement entre Ono et les autres membres du groupe.

John et Yoko Ono étaient presque toujours ensemble, même quand Lennon travaillait avec le reste du groupe en studio.

Cela violait un accord fait entre les membres de ne pas laisser les femmes ou les amis entrer en studio. Ono faisait souvent des suggestions dans le studio d’enregistrement, ce qui ne servait qu’à augmenter le mécontentement entre Ono et les autres membres du groupe.

John et Yoko Ono étaient presque toujours ensemble, même quand Lennon travaillait avec le reste du groupe en studio.

Cela violait un accord fait entre les membres de ne pas laisser les femmes ou les amis entrer en studio. Ono faisait souvent des suggestions dans le studio d’enregistrement, ce qui ne servait qu’à augmenter le mécontentement entre Ono et les autres membres du groupe.

John et Yoko Ono étaient presque toujours ensemble, même quand Lennon travaillait avec le reste du groupe en studio.

Cela violait un accord fait entre les membres de ne pas laisser les femmes ou les amis entrer en studio. Ono faisait souvent des suggestions dans le studio d’enregistrement, ce qui ne servait qu’à augmenter le mécontentement entre Ono et les autres membres du groupe.

John et Yoko Ono étaient presque toujours ensemble, même quand Lennon travaillait avec le reste du groupe en studio.

Cela violait un accord fait entre les membres de ne pas laisser les femmes ou les amis entrer en studio. Ono faisait souvent des suggestions dans le studio d’enregistrement, ce qui ne servait qu’à augmenter le mécontentement entre Ono et les autres membres du groupe.

John et Yoko Ono étaient presque toujours ensemble, même quand Lennon travaillait avec le reste du groupe en studio.

Cela violait un accord fait entre les membres de ne pas laisser les femmes ou les amis entrer en studio. Ono faisait souvent des suggestions dans le studio d’enregistrement, ce qui ne servait qu’à augmenter le mécontentement entre Ono et les autres membres du groupe.