Un po’ mi manca l’aria che tirava
Je N'arrive Pas À Me L'expliquer
O semplicemente la tua bianca schiena..nananana
E quell’orologio non girava
Il me manque un peu l'air que tu respirais
Stava fermo sempre da mattina a sera.
Nananana Ou simplement ton dos blanc. nananana
Come me lui ti fissava
Et cette horloge ne tournait pas
Io non piango mai per te
Elle restait arrêtée du matin au soir.
Non farò niente di simile...nononono
Comme moi il te fixait
Si, lo ammetto, un po’ ti penso
Moi je ne pleure jamais pour toi
Ma mi scanso
Je ne ferai jamais rien de tel.
Non mi tocchi più
Non jamais. nononono
Oui, je l'admet, je pense un peu à toi
Solo che pensavo a quanto è inutile farneticare
Mais je m'ésquive
E credere di stare bene quando è inverno e te
Tu ne me concernes plus
Non mi abbracci e mi ripeti che son grande,
Seulement que je pensais à combien il est inutile de délirer
Mi ricordi che rivivo in tante cose...nananana
Et croire d'aller bien quand c'est l'hiver et toi
Case, libri, auto, viaggi, fogli di giornale
Enlève tes mains chaudes
Che anche se non valgo niente perlomeno a te
Tu ne m'embrasses pas et me répètes que je suis grand,
Ti permetto di sognare
Tu me rappelles que je revis en beaucoup de choses. nananana
E se hai voglia, di lasciarti camminare
Maisons, livres, voitures, voyages, feuilles de journal
Scusa, sai, non ti vorrei mai disturbare
Que même si je ne vaux rien ou du moins pour toi
Ma vuoi dirmi come questo può finire?
Je te permets de rêver
Non melo so spiegare
Et si tu veux, de te laisser marcher
Io no me lo so spiegare
Pardon, tu sais, je ne voudrais jamais te déranger
Mais veux-tu me dire comment celà peut finir ?
La notte fonda e la luna piena
Je n'arrive pas à me l'expliquer
Ci offrivano da dono solo l’atmosfera
Moi je n'arrive pas à me l'expliquer
Ma l’amavo e l’amo ancora
Ogni dettaglio è aria che mi manca
La nuit noire et la pleine lune
E se sto così..sarà la primavera..
Ne nous offrait en don que l'atmosphère
Ma non regge più la scusa...
Mais je l'aimais et je l'aime encore
Chaque détail donne l'air qu'elle me manque
Solo che pensavo a quanto è inutile farneticare
Et si je suis ainsi. Ce doit être parce que c'est le printemps.
E credere di stare bene quando è inverno e te
Mais je ne supporte plus l'excuse.
Non mi abbracci e mi ripeti che son grande,
Seulement que je pensais à combien il est inutile de délirer
Mi ricordi che rivivo in tante cose...nananana
Et croire d'aller bien quand c'est l'hiver et toi
Case, libri, auto, viaggi, fogli di giornale
Enlève tes mains chaudes
Che anche se non valgo niente perlomeno a te
Tu ne m'embrasses pas et me répètes que je suis grand,
Ti permetto di sognare..
Tu me rappelles que je revis en beaucoup de choses. nananana
Solo che pensavo a quanto è inutile farneticare
Maisons, livres, voitures, voyages, feuilles de journal
E credere di stare bene quando è inverno e te
Que même si je ne vaux rien ou du moins pour toi
Togli le tue mani calde
Je te permets de rêver.
Non mi abbracci e mi ripeti che son grande,
Seulement que je pensais à combien il est inutile de délirer
Mi ricordi che rivivo in tante cose...nananana
Et croire d'aller bien quand c'est l'hiver et toi
Case, libri, auto, viaggi, fogli di giornale
Enlève tes mains chaudes
Che anche se non valgo niente perlomeno a te
Tu ne m'embrasses pas et me répètes que je suis grand,
Ti permetto di sognare
Tu me rappelles que je revis en beaucoup de choses. nananana
E se hai voglia, di lasciarti camminare
Maisons, livres, voitures, voyages, feuilles de journal
Scusa, sai, non ti vorrei mai disturbare
Que même si je ne vaux rien ou du moins pour toi
Ma vuoi dirmi come questo può finire?
Je te permets de rêver
Et si tu veux, de te laisser marcher
Pardon, tu sais, je ne voudrais jamais te déranger
Mais veux-tu me dire comment celà peut finir ?
Mais veux-tu me dire comment celà peut finir ?
Mais veux-tu me dire comment celà peut finir ?